Réglementation des cryptomonnaies : De nombreux pays ont commencé à mettre en œuvre ou à envisager des réglementations spécifiques pour les cryptomonnaies, les ICOs (Initial Coin Offerings) et les plateformes d’échange. Par exemple, l’Union européenne a proposé le règlement MiCA (Markets in Crypto-assets) pour réglementer les marchés des actifs cryptographiques.
Open Banking : L’Union européenne avec la DSP2 (Directive sur les services de paiement 2) et le Royaume-Uni avec le cadre de l’Open Banking ont mis en avant la nécessité pour les banques de permettre l’accès aux données des clients à des tiers fournisseurs, tout en garantissant la sécurité des données.
Réglementation des plateformes de prêt peer-to-peer : De nombreux pays ont également introduit des réglementations pour encadrer les plateformes de prêt entre particuliers afin de protéger les consommateurs et de garantir la stabilité financière.
Sandboxes réglementaires : Plusieurs juridictions, dont le Royaume-Uni, Singapour et Hong Kong, ont mis en place des « sandboxes » réglementaires. Il s’agit d’environnements contrôlés où les startups fintech peuvent tester leurs innovations sans être soumises à toutes les exigences réglementaires habituelles.
Protection des données et vie privée : Avec l’augmentation des services financiers numériques, la protection des données est devenue primordiale. Des réglementations comme le RGPD (Règlement général sur la protection des données) en Europe ont des implications pour les fintechs en matière de collecte, de traitement et de stockage des données personnelles.
Réglementation des robo-advisors : Alors que les plateformes de conseil automatisé gagnent en popularité, de nombreuses juridictions examinent comment ces plateformes devraient être réglementées, en particulier en ce qui concerne la transparence et la protection des investisseurs.
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